« À la mort de son père, alors qu’il était un jeune homme, Miller trouva un journal qui avait appartenu à son ancêtre juif issu de la Jugendgasse de Francfort, un dénommé Moses Harriman. Le meilleur ami de ce dernier, Mayer Rothschild, l’avait envoyé en 1773, sous le sceau du secret, dans le Nouveau Monde, pour infiltrer la sphère politique et jeter les bases d’une société secrète (…) La question centrale pour lui fut : est-ce que cette société secrète existait toujours, et avait-elle réussi à s’enraciner?... »
« Miller était glacé de stupeur, d’effroi et d’épouvante.
Les liens de son destin uni à celui du Président venaient d’être brutalement rompus. La souffrance ne l’avait pas encore envahi. (…)
L’un des plus grands présidents, et un ami très cher, venait de disparaître, tué avant d’avoir pu finaliser leur plan secret. Le monde ne saurait jamais ce que John F. Kennedy voulait réellement accomplir. L’administration Johnson changerait totalement la politique, c’était une certitude...»
« Pour cette quête, sa première cible fut le chat du voisin. Il ne voulait pas le tuer bêtement. Il le crucifia sur un panneau de bois, jusqu’à contempler les rigoles de sang qui s’échappaient des pattes de l’animal, qu’il finit par couper avec une pince. Il était hypnotisé par les soubresauts de sa proie agonisante. L’affolement des cellules, qui créèrent le désordre avant la fin. Et cette souffrance physique qui tortura les traits de cette pauvre bête, dont le sens lui échappait encore et qui le fascinait... »
Gérald Potertton, un grand homme de cinéma nommé trois fois aux oscars dans la catégorie des courts métrages.
C’est un privilège d’avoir collaboré avec « Gerry » pour l’enregistrement du livre audio en anglais. Merci à toi Gerry. N. Ellion
Gérald Potertton, nous conte quelques extraits du livre Héritage
The notebook
Miller Harris
JFK
Plot
James Bradford
Aimants financiers